samedi 5 septembre 2020

Une bien belle journée - Récit pour Malika

Malika m'est revenue. De nouveau. Je ne vais pas vous en parler en détail parce que, déjà, je vous le rappelle, Malika nous lit... Moi, je suis quand même un peu timide, je peux pas tout lui raconter ici... Et en plus, cette histoire ressemble beaucoup à ce qui a pu se passer entre nous lors de nos premières retrouvailles : un contact discret sur la toile, une petite rencontre, ballade, durant laquelle les intentions de la belle sont assez visibles, mais on laisse monter la pression et planer un petit doute. Et puis une deuxième rencontre et des bisous, toujours aussi doux.

Cette fois-ci cependant, nous avons un peu innové : pas de toilettes de la gare (le saviez-tu ? L'article dans lequel je décris nos ébats dans ce lieu insolite est, de loin, le plus consulté du blog, bande de perv'...) ou d'hôtel en journée mais, après s'être réfugiés dans la voiture pendant un épisode orageux d'été, les caresses se sont faites de plus en plus précises :  j'ai retrouvé sa belle poitrine si sensible, je lui ai caressé le pubis comme elle m'a appris à le faire il y a plus de vingt ans dans un couloir de métro et, tous les deux très excités, nous nous sommes contorsionnés pour faire l'amour sur le siège de la voiture pendant que la pluie tambourinait sur la carrosserie. Un classique de cinéma que nous avons découvert à quarante ans. Y'a pas d'âge n'est-ce pas ?

Bon, ce n'est pas de cette belle journée chaude et humide dont je voulais vous parler. Non, à l'occasion de nos retrouvailles, Malika m'a dit être particulièrement déçue de n'avoir pas de nouveau récit à parcourir sur ce blog que j'ai, il est vrai, bien délaissé. J'étais d'accord avec elle pour dire que c'était en effet bien dommage de ne pas partager mes aventures, et d'ainsi laisser s'en évanouir les souvenirs. J'ai donc décidé de nous raconter (à elle, à mon moi du futur et à toi public) la journée particulièrement dense qui a suivie, à l'occasion de mon retour de vacances, après plusieurs semaines sans voir Michelle.

Nous avions convenu de nous retrouver chez elle. A mon arrivée, classique petite mise en jambe de séduction : la belle joue la réservée, trouve quelques mini-excuses qui ne tiennent pas bien longtemps tellement je sens son envie et, il me suffit de quelques caresses du bout de la langue sur son téton dégagé pour commencer les réjouissances.

J'ai très envie de la faire bien jouir, un bel orgasme bien long et intense. En effet, le petit problème que je rencontre ordinairement avec Michelle, c'est qu'elle a assez peu expérience d'une pratique que j'affectionne beaucoup : le cunnilingus. Si bien que son orgasme vient en général très vite, après à peine une ou deux minutes, mais qu'il me semble fatalement assez superficiel... Aujourd'hui, j'ai décidé qu'il en serait autrement et je procède avec encore plus de retenue et de douceur que d'habitude. Je n'accélère pas quand elle le demande mais je tourne longtemps autour des zones les plus sensibles, effleurant les lèvres du bout de la langue, passant bien haut sur le pubis pour à peine exciter la base enfouie du clitoris, qui n'est lui stimulé qu'indirectement ou par mon souffle chaud. Je me concentre plutôt sur l'entrée du vagin ou la zone entre vagin et anus que je détaille du bout dur de ma langue.

Le résultat est à la hauteur de mes espérances et la belle a, après quelques minutes de cette torture, un bel et fort orgasme qui la laisse pourtant encore sur sa faim : contrairement à d'habitude, je n'ai pas eu à introduire mon doigt pour déclencher la jouissance, c'est à peine si j'ai effleuré le clitoris...

Si bien que la période d'hyper-sensibilité qui suit en général sa jouissance a une durée assez réduite et que je peux enchaîner avec une deuxième vague de stimulations, plus ciblées cette fois, plus intenses et, une dizaine de minutes plus tard, une explosion de plaisir la submerge de nouveau tandis que je suce intensément son clitoris et que la partie charnue de mon majeur caresse franchement la paroi antérieure de son vagin, jouant avec un point G dur comme un téton et gonflé comme jamais...

La pénétration qui suit, toute en douceur, se fait avec un naturel incroyable, ça glisse tout seul, c'est encore chaud et tremblant et, petit à petit, l'intensité de mes coups de rein s'accroit pour finir par la baiser bien fort comme elle me le demande et que nous jouissions tous les deux bien intensément. Hum, un bien bon souvenir !

Bien. C'est cool tout ça, mais rien d'absolument incroyable non plus, non ? Certes. Mais savez-vous quelle fut notre activé juste après ? Et bien, tout simplement, nous avons discuté de notre envie de faire un plan à trois, avec une complice... En effet, nous avions passé un bel après-midi dans un sauna libertin de la capitale juste avant le confinement et, à cette occasion, même si la belle avait manifesté un peu de jalousie de me voir me faire sucer par une jolie black à la bouche bien douce alors qu'elle se retrouvait aux prises avec le mari, elle avait finalement beaucoup apprécié le cunni que je lui avais fait dans le hammam pendant qu'une maghrébine d'une quarantaine d'années aux gros seins s'était occupé de lui dévorer la poitrine. Et puis me dit-elle, elle aime l'idée de me partager pour me faire encore plus jouir : ma sensibilité des tétons par exemple peut difficilement être excitée en même temps que la fellation avec une seule bouche. Avec deux en revanche, c'est la promesse d'un orgasme incroyable (mais aussi je le crains bien rapide mais bon...)

Donc, pour satisfaire ce désir, j'ai posté quelques annonces sur les sites adéquats et c'est donc le dépouillement des réponses qui nous a occupé après ces retrouvailles intenses. Et il y avait de quoi faire : nombreuses furent les requêtes que nous reçûmes. Malheureusement, dans 90 % du temps, il s'agissait d'hommes seuls qui nous proposaient leurs services ou tenaient à partager des photos de leur anatomie... Quelques demandes bien chelou aussi comme une proposition d'achat de strings portés ou encore ce sado-maso qui proposait pas moins de 500 euros pour que son bas-ventre soit écrasé par un pied du lit sur lequel nous nous ébattrions. Quelques uns plus vicieux encore qui se faisaient passer pour une femme intéressée par notre recherche, mais qui souhaitait qu'on l'appelle pour qu'elle nous écoute silencieusement pendant que nous ferions l'amour à l'autre bout du fil, pour "faire connaissance". Ou quelques autres scammeurs cherchant à avoir le plus de photos et d'informations personnelles possible dans le but sans doute de découvrir notre identité et de tenter un chantage... Bref, dans tout ça, finalement un seul contact potentiellement intéressant d'une asiatique d'une quarantaine d'années mais qui n'était pas libre pour le week-end suivant : on imagine bien qu'elle était fatalement assez demandée.

Cette activité un peu surréaliste a toutefois eu le mérite de nous passer le temps et de nous allumer un peu, et, même si la belle demandait un peu de répit pour la forme, mes caresses et coups de langue bien placés l'ont rapidement remise en selle. Un bon cunni plus tard, je la prenais fortement en levrette sur un lit dont les lattes ont fini par céder et c'est sur le tapis que nous finîmes, elle à moitié couchée sur le sol, ma main tenant fortement sa nuque pendant que je lui faisais bien l'amour, sans retenue, entrant tout mon sexe jusqu'à la garde dans son vagin dilaté, mes bourses frappant ses lèvres à chaque coup de rein dans un râle bestial. Bon, pas facile à décrire avec un clavier mais vous voyez bien l'idée...

Est-ce ainsi que se termine la journée, déjà bien remplie ?

Et non, car six heures après, j'étais au lit avec Caroline, et c'est bien cette combinaison qui rend cette journée assez extraordinaire. Je devais ce jour-là avoir vraiment envie de "bouffer des culs" comme disait bien vulgairement mon père car j'ai provoqué, avec une méthode assez similaire bien qu'adaptée à ses envies particulières (moins de stimulations anales, plus de sensibilité sur les poils du pubis, etc.), une des plus beaux orgasmes de Caroline, il a duré tellement longtemps, il n'en finissait pas, je suis resté bien longtemps pile à la limite du "trop" qui aurait entrainé un mouvement de rejet... Pendant qu'elle jouissait, j'alternais clitoris et point G dès que l'un des deux était au seuil de la douleur, l'autre prenant le relais... Elle est en sortie lessivée et moi, excité comme jamais. Et la pénétration qui suivie fut évidemment très longue, j'avais déjà donné l'après-midi même. Si bien que le plaisir a eu le temps de monter chez nous deux (il faut pénétrer Caroline très très longtemps avant d'avoir une chance d'approcher une zone orgasmique, généralement beaucoup plus longtemps que mon endurance ne me le permet tellement cela m'excite dès qu'elle se met à gémir...) et ce fut un des coups les plus mémorables de notre vie sexuelle...

Alors Malika, tu en penses quoi de mes journées ?

Je fais le malin mais ce n'est évidemment pas tous les jours comme ça, mais la conjonction de cette journée extraordinaire avec sa requête d'histoires neuves m'a amusée : je me suis dit que j'allais la jouer du genre : "ah oui, tu veux ma journée ? Tiens, au hasard je vais te parler d'avant-hier..." comme si c'était commun...

 


jeudi 30 janvier 2020

Le retour de Lola

Vous souveniez-vous de Lola ? Une jolie malgache que j'avais séduite par miracle en la faisant vibrer à coup de surnaturel et d'autres évènements forts en émotion ?
Moi, en tout cas, je m'en souvenais. Je la suivais de temps en temps, de loin, sur les réseaux sociaux, chaque photo de vacances me permettant de me remémorer ces journées lointaines passées en sa compagnie et son corps ferme et délicieux que je pris tant de plaisir à explorer et à posséder l'espace de quelques instants. Elle était partie pour vivre sa vie loin de moi, qui ne pouvais pas lui offrir ce qu'elle voulait... C'était le jeu. Il me restait ces magnifiques souvenirs et, elle, sans doute m'avait-elle sinon oublié, au moins rangé dans un coin de sa mémoire pour toujours...

Et bien, un beau matin, quelle ne fut pas ma surprise en constatant une visite de la belle sur mon profil LinkedIn, comme ça, plus de 8 ans après notre dernier contact !
Considérant cette visite comme un signe évident, j'entamai une conversation et nous nous mettions d'accord pour un déjeuner quelques jours plus tard.
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Souhaitait-elle juste évoquer quelques bons souvenirs passés, m'en voulait-elle pour une raison ou pour une autre ou au contraire, comme moi, avait-elle très envie de reprendre, 8 ans plus tard, la jolie histoire que nous avions laissée en suspens ? Je m'en étais en tout cas remémoré quelques détails grâce à ce blog !

Oh, quel bonheur de la revoir, si semblable au souvenir qu'elle m'avait laissé. Elle a presque trente ans aujourd'hui alors qu'elle en comptait alors à peine plus de 20, mais elle n'a pas changé, toujours aussi mignonne et athlétique. Touchante dans ses sourires, excitante par ses regards, et un corps qui n'a pas perdu de son attrait, bien au contraire : si elle est toujours aussi musclées du bas, sa poitrine me semblait un peu plus volumineuse que dans mon souvenir. Bref, que du bonheur !
Très vite, en quelques secondes à peine, je sus dans quel état d'esprit elle était. Et c'était cool. Elle voulait de moi mais ne savait pas trop quel serait mon désir. Je décidai évidemment de laisser planer le doute durant la conversation...

On se raconta rapidement nos 8 dernières années, elle est retournée avec son copain de l'époque, qu'elle avait quitté pendant notre relation et ne l'a plus trompé depuis. Je n'ai pas fait étalage de toutes mes conquêtes, mais n'ai pas feint la vertu non plus... Je lui ai juste laissé entendre que certes j'étais toujours aussi infidèle, mais que je cherchais avant tout une relation stable avec une seule maîtresse à la foi et que j'avais ainsi enchaîné plusieurs autres relations mais souvent sur des périodes longues et que ces histoires s'étaient toujours terminées à regrets... Vous le voyez, ce n'est qu'une entorse toute relative à la vérité.
J'ai vite compris qu'elle gardait de notre relation un très bon souvenir, que j'étais toujours dans son cœur et que manifestement, elle n'avait pas retrouvé chez son conjoint les émotions que je lui avais procuré... Bref, elle se voyait bien dans le rôle de cette maîtresse idéale que je lui dépeins habillement.

Ça m'a beaucoup fait penser à Malika tout ça. D'abord la drôle de similitude dans la façon dont elle m'a retrouvé (encore LinkedIn, décidément, c'est plus discret et tout aussi efficace que Tinder pour les rencontres extra-professionnelles !), et puis ce retour motivé pour moitié par la nostalgie et pour l'autre moitié par une volonté d'enfin reprendre bien son pied au lit.

Je ne la fis pas patienter plus longtemps et, après une petite ballade digestive, je l'embrassais fougueusement et longuement dans un parc proche de son boulot pour terminer électriquement cette belle pause déjeuner. Elle était tellement chaude qu'elle me laissa entendre qu'elle pourrait bien ne pas retourner au travail si j'en avais envie ! Bon, l'envie ne manquais pas c'est certain, mais la logistique ne suivait pas, j'étais attendu à l'école pour récupérer ma progéniture moi... Il nous faudrait donc patienter, mais, ne t'inquiète pas tsara Lola, pas longtemps...

mercredi 15 janvier 2020

Figeons de nouveau le temps

Il n'y a plus d'activité sur ce blog. Pourtant, il y en aurait des choses à raconter...

Je ne me suis pas rangé, pas une seconde. Je ne sais pas si ça arrivera un jour. J'en doute. Peut-être si je me fais chopper en flagrant délit et que, dans un bon cliché de film, je promets de changer, de faire des efforts pour me faire pardonner, tout ça...

Enfin, on ne va pas commencer à parler d'un hypothétique futur quand on a trois ans de retard dans le recueil des souvenirs ! Il manque ici des dizaines de relations plus ou moins poussées, cinq ou six maîtresses... Je relis mes rares notes et des tas de souvenirs de ces trois dernières années me reviennent en mémoire. C'est vraiment idiot de ne pas les avoir consignés sur le coup mais bon... Je vais plutôt tenter de fixer les évènements actuels et les sensations très fortes que je vis avec mes deux maîtresses actuelles. Michelle que je connais maintenant depuis un an et demi et l'incroyable retour de Lola près de dix ans plus tard... Ce que je vis avec ces deux-là, je n'ai pas envie de l'oublier, alors je vais tenter d'immortaliser de nouveau ces moments si incroyables.


vendredi 7 juillet 2017

Mes doux rendez-vous à l'hôtel avec Olga, lesbienne bi suédoise

Dans ma vie amoureuse et sentimentale, Olga fait figure d'exception. Non seulement elle est d'origine suédoise donc à la peau bien blanche (elle est tout de même petite et brune, n'exagérons rien) ce qui n'avait jamais été le cas d'aucune de mes partenaires extra-conjugales, mais surtout Olga vit au quotidien avec une femme.

Je l'ai rencontré via un site qui permet la mise en relation des couples homosexuels avec d'éventuels donneurs (ou d'autres couples homosexuels de l'autre genre)... Mon idée ayant toujours été que :
- Il n'est révoltant que les couples de lesbiennes ou les femmes seules n'aient pas accès au système de don de sperme officiel
- Donner son sperme est un formidable moyen de propager son code génétique au-delà de ce que les standards familiaux actuels permettent (disons qu'il semble difficile d'élever 20 enfants... Via le don, c'est possible de les avoir)
- Je pense que j'adorerai découvrir que j'ai des demi-frères ou soeurs à l'âge adulte. Je compte donc révéler leur existence à mes enfants lors de ma mort, un peu comme un cadeau d'adieu. Ils en feront bien ce qu'ils voudront.

Alors que j'avais déjà apporté mon aide dans ce genre de projet et étant tête à tête avec une éprouvette dont le couple s'occupait à mon départ, ici, les choses se sont présentées autrement.
Olga, 42 ans, très franche, n'a pas toujours été lesbienne, et elle ne gardait pas un mauvais souvenir de ses relations avec des hommes. De plus, elle était convaincue que le rapport direct favorisait les chances de tomber enceinte, elle m'a donc proposé, après des tests réciproques sur tous les problèmes possibles, de procéder de façon naturelle. Ma foi, sans être canon, Olga n'était pas moche, un petit bidon et un peu de cellulite mais de jolis seins et un beau sourire, ça ne se refuse pas...

Je n'allais pas être déçu. Nous nous sommes rencontrés de nombreuses fois, toujours à l'hôtel (en plus tout frais payé pour moi), et je n'avais absolument aucune pression de performance, au contraire, il valait mieux aller assez vite (du moins pour les premières fois). Pour me mettre en forme, Olga m'installait confortablement sur le dos, me caressait délicieusement en m'effleurant partout, me suçait tout doucement jusqu'à ce que je sois au bord de l'orgasme puis je la pénètrais gentiment pour jouir en elle très vite. Plutôt agréable.

Puis nos rapports se sont peu à peu enrichis. Une fois, alors qu'elle voulait que l'on tente trois jours de suite, comme j'étais moins en forme le troisième jour (il faut dire que Caroline avait eu une envie la veille, ça faisait tout de même quatre fois en 3 jours...), pour me revigorer, elle me donna ses seins à lécher, puis je lui léchai la chatte. Elle aima, me le montra bien, et ça me remit en forme pour la reprendre plus vigoureusement que jamais.

Nous commençâmes à nous embrasser timidement, puis, essai après essai, à nous rouler de francs patins pendant que je la prenais et, les dernières fois, nous faisions l'amour comme deux amoureux, tout y était, baisers torrides, sexe buccal, petits mots doux... Je fais l'amour aussi bien qu'une femme paraît-il (je sais que je suis tendre), mais avec un truc en plus toutefois... Etonnante lesbienne tout de même...

Comment ça c'est terminé ? Pas de happy end malheureusement. Son corps en a finit avec sa réserve d'ovocytes sans que nous soyions parvenus à en féconder un... Enfin, si, mais le bougre n'a pas voulu rester bien au chaud. Malgré les aides médicales, rien à faire, ça n'a pas fonctionné... Notre relation s'est donc terminée puisqu'elle était basée sur ce contrat explicite, et, même si je sais qu'Olga a adoré nos parties de jambes en l'air, je sais qu'elle s'achète une conscience via-à-vis de son épouse (qui a toujours pensé que nous procédions de façon artisanale) en se disant que si elle l'a trompé, c'était pour la bonne cause. Cette excuse ne tiendrait plus aujourd'hui...

samedi 1 juillet 2017

Malika nous lit !


Reparlons un peu de Malika.

Nous en étions restés à relater quelques échanges de mails que nous avions eu suite à notre aventure et à la rupture rocambolesque qui s'en est suivie.

Ces relations épistolaires se sont poursuivies de manière épisodique et rien n'avait vraiment changé : je sentais qu'il ne faudrait pas beaucoup insister pour pousser Malika à replonger dans les délices de l'infidélité mais je savais que, si la tentation était vraiment forte, son vrai désir était de rester fidèle à l'homme de sa vie. On a donc fait en sorte que cela se passe ainsi.

Nous nous sommes même revus. C'est toujours très sympa, on discute à bâtons rompus et on se fait des confidences qu'on ne fait à personne d'autre. On se sent à l'aise et libérés et on parle de tout... Peut-être un peu trop... En effet, comme un idiot, je lui ai parlé de ce blog et j'ai donné assez de détails pour qu'une recherche un peu ciblée sur Google ne la fasse arriver pile ici. Il faut croire qu'"Infidèle, l'adulte erre..." est bien référencé dans le domaine du blog adultérin... Elle n'a évidemment pas eu trop de mal à se reconnaître et un jour, j'ai reçu un e-mail d'une certaine 'Malika' (qui n'est pas son vrai prénom dans la vraie vie, mais qu'elle a utilisé pour cette adresse e-mail en particulier, pour me faire comprendre qu'elle avait compris... Les plus lents des lecteurs peuvent reprendre depuis le début, je ne répèterai pas)...

J'avais dans l'idée d'en reprendre les grandes lignes, d'expliquer comment elle avait pu se sentir blessée par mon approche très cynique de sa description physique (d'autant plus que certains articles la concernant datent d'un temps ancien et ont une tonalité assez froide et impersonnelle) ou par la maladresse de dire que je ne l'avais pas véritablement aimé, alors que mon attitude lorsque nous étions ensemble laissait bien sûr penser le contraire. Mais, en relisant son message (qui a un an déjà), je me suis dit qu'il valait mieux le publier tel quel, maintenant que je suis sûr que ni Bertrand (son mari), ni Caroline (mon épouse) ne l'ont jamais lu et ne pourraient se douter que tout est en ligne, il n'y a plus à craindre une recherche sur les termes exacts dans Google (encore lui !). De plus, il est bien écrit je trouve, et j'ai l'impression que ça permet de ressentir notre complicité et le jeu qu'il peut y avoir entre nous beaucoup plus finement que mon potentiel grossier résumé...



Encore une première

Comme à chaque fois avec moi, il baisse un peu sa garde. Il m'a révélé, sans peut-être vraiment y prêter garde au départ, qu'il écrivait. Il écrivait beaucoup et avait même un blog. Pas n'importe quel blog, un blog où ses conquêtes apparaissaient et même moi. Trop curieuse, je cherche sur le net et malgré mon peu d'expérience du sujet, je le trouve. Je suis piquée de curiosité, je cherche notre histoire. Ce qu'il a pu écrire de nous, avec un peu d'appréhension tout de même car j'allais découvrir ce qu'il pensait réellement de nous deux, (il a toujours su comment tourner autour du pot sur le sujet, me révélant le vrai, me laissant soupçonner le faux)...


Je retrouve dans le texte l'intensité de nos ébats de nos retrouvailles après 7 ans, la réalité de notre attraction sexuelle mutuelle et je suis ravie de lire que même si je ne suis qu'une HB5, je lui ai fait un super effet, comme je l'avais moi-même ressenti. Un peu vexé quand même par le HB5. Je devrais au moins être une HB7 (soit + 2 points) étant donné notre passé et notre vrai relation d'amitié. Mais bon, passons. 


Un peu vexé aussi par le "je pense qu'en fait je ne l'ai jamais vraiment aimé" car je me souviens bien qu'il a dû me dire plusieurs fois qu'il m'aimait du temps de notre folle adolescence. Mais bon, dit-on qu'à l'adolescence on peut confondre désir et amour et c'est peut-être aussi ce que j'ai fait. Mais je n'en suis pas certaine car j'ai quand même souvenir d'une vrai peine de cœur à cause de lui. C'est peut-être à cause de ça que j'ai décidé de totalement me détourner des hommes européens, lui laissant en quelque sorte l'exclusivité de mon corps et de mon cœur.


Effectivement je m'en suis remise, je suis marié depuis 13 ans à un homme bon et tendre (un peu trop parfois) et ai une fille (et je me désespère d'en avoir un deuxième enfant un jour, mon mari n'étant pas très porté sur la "chose", c'est un peu compliqué). Mais ce que nous avons vécu adolescent ne me quittera jamais. Et ces quelques semaines d'intense activité adultérines non plus. Je confirme, il est un très bon coup. Et je suis assez fière d'y être pour quelque chose. Le fait de l'avoir fait patienter près d'un an ou plus (oui j'avais la lubie à l'époque de rester vierge jusqu'au mariage et il a été hyper patient - un vrai gentleman) avant qu'on le fasse, nous a permis de nous découvrir physiquement sous toutes les formes avant de le faire et à compter de ce moment là, il était comme une drogue dont je ne pouvais plus me passer. 


Alors voilà, je constate dans ce blog que ce qu'il m'avait dit était vrai et je lis avec délectation ses autres histoires avec ces femmes et je l'envie, et ça m'excite aussi. Ayant fait vœux en quelque sorte de chasteté ou presque depuis que mon mari était venu tout gâcher (je me suis interdite de recommencer en dehors du mariage et de d'abord le quitter si vraiment je n'en pouvais plus de l'abstinence qu'il m'impose), cette lecture me libère. Cette lecture me donne envie d'en savoir plus, de recommencer, de 5 à 7, de midi-14h ensemble.


Mais c'est également une occasion unique d'aller plus loin dans notre relation d'ami-amant et de partager des choses vraies. J'ai envie de lire son blog à chaque nouvelle rencontre, bizarrement je ne suis pas jalouse, dois-je lui dire que je l'ai lu, vais-je casser son inspiration? j'espère que non et que ça lui apportera du piment de connaître au moins une fan de ses écrits parmi les nombreux que je soupçonne.



Malika


Autant vous avouer que cela a créé une certaine gêne au départ. Si je sais qu'il y a certains lecteurs à ce blog, je n'ai que très très peu de relations avec eux (quelques commentaires tout au plus, un petit échange d'e-mail très vieux que je publierai un jour peut-être, il était rigolo, et c'est tout), cela reste de toute façon des inconnus... Ce blog n'a évidemment pas vocation a être découvert par des personnes qui me connaissent dans la vraie vie, et encore moins par une protagoniste majeure... Parce qu'ici, je parle sans filtre, sans arrière-pensée, sans calcul, alors qu'en vrai, le jeu de la séduction, adultérine par dessus le marché, réclame une certaine dose de duplicité / manipulation / embellissement de la réalité... C'est malheureux mais c'est le jeu tout de même. Et Malika faisait partie du jeu.

L'effet immédiat a été que j'ai arrêté d'écrire. Pendant un an donc. Autant dire que les craintes que Malika exprime à la fin de son e-mail étaient justifiées... Et puis, j'ai regretté de n'avoir pas consigné certaines histoires. J'ai honte mais je me suis rendu compte que j'ai eu une relation, certes courte, avec une jolie angolaise dont je n'ai plus de souvenir, du tout... Je sais qu'on a couché ensemble une fois, mais je n'ai plus aucune image de ce moment, quel dommage... Alors, pour que ça n'arrive pas avec Rose ou les prochaines, ou Olga dont je vais vous parler bientôt, j'ai repris le clavier... Déjà, il y a des chances que Malika se soit fait une raison et arrête de vérifier si ce blog se met à jour (au bout d'un an, tout de même...) et puis, finalement, on sent bien une certaine bienveillance dans son message, et elle sait déjà tout de moi (ou presque), alors, à quoi bon se priver de ce formidable outil de mémoire ?

mercredi 21 juin 2017

Rose, ma touriste chinoise, est folle de moi. Et je lui rends bien


Vous vous souvenez de Rose ? La jolie touriste chinoise que j'avais abordé et séduite en quelques heures dans Paris.
Et bien, un jour, sans crier gare, Rose, avec qui nous échangions des petits messages mignons de temps en temps, me dit qu'elle sera de nouveau à Paris la semaine suivante, seule, et que ça lui ferait plaisir de me revoir...
Coup de chance je suis bien là (à une semaine près c'était les vacances...) et je pose discrètement une journée pour passer le plus de temps possible avec ma belle asiatique.
Et lorsque je la retrouve sur le Champ de Mars pour la guider quelques heures dans les rues de Paris, elle est toujours aussi jolie et souriante. On commence cependant par se faire pudiquement la bise, puis le jeu de la séduction reprend le dessus : petits kinos, je lui tiens la main pour traverser la rue (elle frissonne de traverser au rouge) et la lâche de plus en plus tard, on se frôle, se taquine, elle a envie et je finis par l'embrasser de nouveau au pied du Sacré-Coeur (merci Paris)
Un petit resto assez authentique puis je lui fais visiter les coins les plus mignons de Montmartre, les plus romantiques (fatiguée, je la prends dans mes bras pour lui faire grimper les dernières volées de marche... L'exploit est à ma mesure, elle doit peser 45 kg toute mouillée, et je m'y emploie), les plus clichés aussi (ah... Le mur des 'je t'aime'...)
Enfin, nous rentrons comme deux amoureux dans sa chambre. La tension est au maximum, on s'embrasse goulument ce qui l'excite terriblement, elle n'est manifestement pas habituée à tant de démonstrations de passion et d'ardeur. Nue, elle est vraiment magnifique, des jambes fines et douces, une taille de guêpe mais de jolies petites fesses rebondies et des seins vraiment épatants. Bien ronds et fermes, pas énormes mais tout de même volumineux étant donné sa morphologie. Honnêtement, ils semblent trop parfaits pour être naturels mais rien ne laisse entrevoir que ce ne soit pas le cas. En tout cas, ils sont très réactils à mes coups de langue et la belle laisse échapper des feulements qui me donnent vraiment envie d'explorer le reste de son anatomie.
En bas, surprise : un énorme buisson ! Jamais taillé, touffu et odorant. Je m'applique à débroussailler tout ça de la langue et à se faire tortiller ma maîtresse dans tous les sens. Elle est très sensible, n'a manifestement jamais connu ça et je la rends folle avec délectation pour lui donner finalement tant bien que mal (elle se débat, s'échappe ou me serre dans ses cuisses) un bel orgasme qui la laisse haletante et trempée.
C'est le moment de passer à l'estocade, alongé sur elle, je la pénètre lentement (elle est craintive vis-à-vis de la taille de mon sexe), mais la nature est bien faite et même si ma fougue est parfois un peu trop forte pour elle, je finis toutefois par bien la prendre bien à fond. C'est doux et serré, un délice. Elle gémit énormément, exactement comme le stéréotype dépeint dans tout film porno asiatique qui se respecte. Je profite un max en caressant son petit corps tendu dans toutes les positions et je finis par m'abandonner en elle dans des râles partagés. Oh, délicieux... Elle est tellement amoureuse et aux petits soins. Vraiment, pile poil comme on se représente le cliché de l'amante asiatique.
Nous remettrons le couvert dans des développements assez similaires par deux fois ce jour-là (entrecoupé d'un dîner toutefois), puis le lendemain (mais on ne saurait s'en lasser). Son instagram y gagnera de nouvelles photos où ses yeux brillent d'une lueur nouvelle puis on finira par se séparer la mort dans l'âme...
Depuis, les petits messages et attentions ont repris de plus belle. Rose m'a envoyé une chanson qu'elle a composé pour moi et chanté dans les karaokés, elle multiplie les allusions à peine voilées sur ses réseaux sociaux (il faut croire que son mari n'y va pas) et s'est même fait tatouer les coordonnées des lieux de notre rencontre et une phrase romantique en français sur le corps ! Si ça c'est pas du love... Pour ma part, je lui montre aussi que je pense à elle (ce qui est vrai parfois) et je lui ai fait parvenir par surprise un bouquet de fleurs pour son anniversaire, ce qui supposait pas mal d'effort pour la retrouver dans Shanghai. Cela a bien fonctionné et je l'ai retrouvé sur Instagram avec le commentaire : "quelle plus belle surprise que de recevoir un cadeau de la part de celui qui vous manque chaque jour..." Et ouais, c'est kawaï l'amour d'une chinoise... C'est idiot mais ça me fait plaisir, et le souvenir de son cul offert à quatre pattes dans sa chambre d'hôtel me fait espérer ses prochaines vacances avec gourmandise.

lundi 2 mai 2016

Rose ou comment emballer une touriste chinoise en deux heures

Ma rencontre avec Rose est particulièrement atypique.

D'abord parce que Rose est asiatique, chinoise de Shanghai précisément, et que, bien que je sois très attiré par le charme asiatique, je n'ai aucun succès... Désolé pour l'aspect froid mais les statistiques de mes séances de drague de rue sont implacables : alors que plus de 30 % des blacks me donnent leur numéro lorsque je les aborde spontanément, le ratio avec les asiatiques est inférieur à 5 % ! Et souvent même elles partent en courant, comme si j'allais les manger :-)

Je me doute bien que l'éducation et la culture y sont pour beaucoup et qu'il faudrait probablement y aller mollo et de manière beaucoup plus indirect avec ces jolies chinoises et japonaises...

Et bien Rose est une exception. Je l'ai croisé sur un grand boulevard touristique, elle portait un sac d'un magasin de vêtements et je lui ai parlé directement, lui proposant au bout de 2 minutes de prendre son numéro et de l'emmener faire un truc sympa durant son séjour parisien. Bingo, le lendemain soir, nous nous promenions sur les berges de la Seine, les kinos passaient sans soucis, la discussion a pu être sexualisée sans trop de problème... En trois quart d'heure nous nous promenions main dans la main et au bout d'une heure, avec vue sur Notre-Dame qui s'éclairait, nous nous embrassions tendrement.

Baisers de moins en moins sages, Rose prenant la mesure du fait qu'il n'était pas du tout exceptionnel de s'embrasser dans la rue à Paris et ça lui plaisait sans aucun doute. Il faut dire qu'elle a probablement un profil moins conventionnel : quelques tatouages et un goût pour le hardrock semblent des indices d'ouverture assez convaincants.

Nous sommes revenus vers son hôtel qu'elle partageait malheureusement avec des amis. Et c'est elle qui avait les clefs... Et puis tout de même, il ne faut pas pousser le bouchon trop loin, je n'ai pas réussi à la convaincre de franchir le pas. Il faut dire que la belle m'avouera par la suite être mariée et n'avoir jamais embrasser d'autre homme que son mari ! Je suis devenu en quelques minutes le deuxième homme avec lequel elle était allé le plus loin. Je ne me suis pas privé de faire en sorte de marquer sa mémoire, passant mes mains dans son soutien-gorge pour caresser ses jolis seins plutôt plus volumineux que le stéréotype habituel et déclenchant des soupirs de plaisirs pendant que nous étions retournés devant la Tour Eiffel pour la voir s'illuminer de mille feux. Je l'ai tenue ainsi, serrer contre moi, mon sexe bien dur entre ses fesses fines et fermes, caressant ses seins et son sexe à travers sa culotte et jouant avec ma langue sur son cou, sa nuque et ses oreilles... Excellent souvenir mais frustration incroyable de ne pas être parvenu à aller plus loin.

Et depuis, cela fait bien six mois, nous sommes toujours en contact de temps en temps, elle m'envoie des chansons et des petits messages, elle m'écrit des poèmes, j'essaie de faire de même en étant le plus romantique et fleur bleue possible et elle adore ça...  C'est rigolo, ça entretient la flamme et je crois que si je passe un jour à Shanghai, je pourrais goûter de nouveau à ces baisers impudiques et peut-être bien un peu plus.

lundi 8 février 2016

Christine, fin de l'histoire

Comme prévu, j'avais bien fait monté la tension avec Christine pour mon retour supposé à Paris le temps d'une soirée. Alternant les délicates attentions et les journées de silence, j'étais persuadé qu'elle ne pensait qu'à une chose : me revoir vite.




Le jour enfin arrivé, elle n'avait pas vraiment d'idée sur le programme de la soirée. J'avais préparé une surprise : repas pour deux à emporter d'un traiteur sympa dans une chambre d'hôtel où nous pourrions tester les fameux massages que nous nous étions promis depuis des jours, le tout au chaud et loin des regards des passants qui la gênaient tant.




Malheureusement, la demi-heure de retard puis le mouvement de recul et l'hésitation de Christine au moment de me suivre dans l'établissement n'étaient pas une résistance de façade. Elle téléphona à son frère et échangea de nombreux textos, se mettant à l'écart dans la pièce et ne rentrant jamais vraiment dans l'ambiance et, au bout d'une petite dizaine de minutes, elle m'annonça devoir partir. Elle était désolée, tout ça... Je l'ai à peine embrassée et ai étreint son corps élancé et ferme dans sa robe de laine en sachant que c'était la dernière fois et elle s'est enfuit.




Bref, mauvais calibrage, suspicions trop fortes sur mon état civil ? Suis-je allé trop vite ou ai-je au contraire gagné du temps avec une fille qui m'aurait toujours balladé ? Je ne le saurai jamais.


En tout cas, une semaine plus tard, elle ne m'a pas rappelé et c'est mieux ainsi. J'ai remis mon alliance, je ne l'enlèverai plus pour draguer, c'est quand même plus simple.

lundi 25 janvier 2016

Passion vs. raison ou Pourquoi je suis un salaud avec Christine

Alors que je vois de moins en moins souvent Catherine, dont le mari a quelques doutes sur les activités du soir et qui doit être beaucoup plus précautionneuse, je me suis remis à aborder des inconnues dans la rue.

La reprise est comme toujours particulièrement laborieusee tant cela nécessite un effort contre ma timidité naturelle, mais j'ai finalement eu quelques succès selon le ratio habituel : 40 % de numéros, 20 % de rendez-vous... Parmi eux, une grande et jeune soussou (de Guinée-Conakry) en pleine rupture mais qui m'a zappé après que j'ai joué le confident pendant (trop) longtemps ; une femme de ménage philippine que je n'arriverai jamais à revoir ; une superbe petite japonaise à qui j'ai servi de guide touristique, qui semblait intéressée mais qui a disparu de la circulation ; une étudiante colombienne de toute beauté qui vit en Province pour un an et que je ne manquerai pas de recontacter si je passe dans son coin, Rose de Shanghai dont je vous parlerai dans un prochain article et puis Christine.

Christine a 27 ans mais est toujours étudiante. Camerounaise de la région de Yaoundé, elle est arrivée en France à la rentrée pour y terminer ses études de marketing et vit chez son frère.
Elle a un visage que je trouve joli mais qui paraît fermé et froid, a l'attitude hautaine qu'on retrouve chez beaucoup de ses compatriotes et n'est donc pas très habituée à se faire draguer, surtout par un blanc, mais, quand je l'ai abordé, elle n'a opposé aucune résistance et, si elle semble très joueuse et sure d'elle dans nos interactions, longues, au téléphone qui ont précédées le premier rendez-vous, elle montre des signes d'intérêt clairs...

Son corps fin et élancé m'attire beaucoup, au point que je joue au célibataire pour l'attirer dans mon lit. C'est un peu naze j'en conviens car c'est vraiment risqué si elle le découvre et ça ne permettra pas de construire sur le long-terme, mais malheureusement, c'est le seul moyen d'aller plus loin dans ma relation avec Christine : le tabou de l'adultère étant trop présent pour elle... Je ne lui parle pas de mariage, ne fais pas de projection pour l'avenir et me comporte exactement comme le ferait un célibataire qui cherche à profiter de la vie... Elle se comporte comme une fille qui cherche à convertir un célibataire en homme marié (si possible avec elle). Elle n'y parviendra pas et le fait que le jeu était pipé d'avance et que son échec provienne de mon statut marital ne la rendra ni plus ni moins malheureuse que pour toute autre raison... Mais bon, c'est nul, je n'aime pas faire ça, mais je ne peux pas m'en empêcher. Je n'arrive pas à regretter les instants passés avec Sandy ou Amandine qui étaient des moments de plaisirs intenses bien qu'ils aient été entourés de mensonge sur ma situation maritale, et j'ai vraiment envie de connaître la même chose dans les bras de Christine.

Premier rendez-vous très sympa, petit raté sur le resto qui est fermé mais bonne humeur et marche volontaire jusqu'au suivant. On se chambre, on rigole, on mange bien, on s'effleure, on se rapproche sur le chemin du retour et je l'embrasse dans un rire partagé avant qu'on se sépare pour prendre chacun un quai. Je cours juste avant que son métro ne parte pour la retrouver et French-kisser de façon un peu plus appuyé... Cool.

Deuxième soirée, assez similaire, sur les hauteurs de Montmartre. Elle n'est pas très sensible à l'histoire ni au paysage, commence le rendez-vous un peu plus froide mais j'arrive bien à récupérer quelques bisous... Elle reste tout de même distante et méfiante. Mes histoires pour expliquer mes absences du week-end ou mon impossibilité à la recevoir chez moi sont évidemment des signaux assez inquiétants.

Et au troisième rendez-vous, que j'ai organisé comme une "soirée de départ" avant un voyage de deux semaines pour tenter de conclure avec cette contrainte de temps improvisée, elle finit par s'ouvrir. Elle m'explique ses doutes, me pose mille questions et, contre toute attente, finit par croire ce que je lui raconte et par me considérer comme son petit ami. Le dilemme moral n'est pas facile à résoudre mais la nouvelle chaleur avec laquelle elle m'embrasse et se laisse caresser, la fermeté enivrante de ses fesses et son immense bouche qui dévore la mienne me font basculer du côté obscur : franchement, cette fille, il me la faut. Je veux lui faire l'amour même si ça fait de moi un vrai beau salaud.

Officiellement, si on vous le demande, je suis actuellement en mission à l'autre bout du monde. Je rentre la semaine prochaine, juste de passage pour une semaine avant un départ potentiellement encore plus long. Nous communiquons tous les jours et avons tous les deux très hâte de nous revoir...

dimanche 8 novembre 2015

Malika m'écrit et me permet de préciser ma vision de l'infidélité

La semaine dernière, Malika m'envoie un petit message anodin :

Salut toi,
J'espère que tu vas bien. Figure-toi que je pense à toi encore une fois et je me dit que décidément tu me manques encore trop souvent.
Pourtant je suis sincèrement amoureuse de mon mari. Malheureusement, c'est comme si la vie au quotidien gâchait le désir et la séduction.
Enfin bref. Sinon j ai toujours autant de boulot, je ne suis toujours pas enceinte et ma fille va bien aussi.
Donnes moi de tes nouvelles, quoi de neuf ?
Je t'embrasse
Malika


Je réponds de manière très enjouée, avec des infos sur ma vie et des questions très étonnantes (du genre, d'où vient le choix du nom de son e-mail qu'elle utilisait il y a quinze ans...), ou encore des précisions sur les confidences qu'on se faisait à l'époque et dont je ne suis pas sûr des détails. Bref, un e-mail avec de l'émotion et de la joie.

Malika me répond rapidement, et termine en posant elle aussi une question : Quels sont tes trucs pour maintenir le piment dans ton couple ?

Bon. Évidemment, à ce stade, il y a deux solutions. Soit je tente de la dévergonder de nouveau, et on sent qu'il reste un fond de sentiments qui ne demande qu'à être réveillé. Soit on reste sage, on respecte la demoiselle et son désir de rester fidèle à son époux qui ne le mérite peut-être pas... Ma réponse spontanée a été la suivante, et je dois avouer qu'en la relisant, je ne sais toujours pas si j'ai choisi la voie de la sagesse ou celle de la luxure !

Mon "secret" ne va pas te plaire, mais pas du tout. Pour mon cas, qui ressemble sans doute au tien en miroir, quand les désirs, envies, (on peut même dire plus crûment besoins), ne sont pas alignés, je ne vois qu'une solution ‎pour maintenir la flamme : l'infidélité de celui qui a toujours envie. Sans cela, nul doute que je serais trop frustré et que mon humeur et notre couple en pâtirait beaucoup. Je le ressens bien à certaines périodes d'ailleurs. En revanche, grâce à ce "secret", la fraîcheur de la flamme se ravive, j'aime retrouver ma petite femme, la re-découvrir et en retomber amoureux à chaque fois. Et le poids du secret, des remords et de ce foutu contrat social moraliste, je le garde sur mes épaules, en partager le fardeau serait beaucoup trop attristant pour elle. Voilà, rien de révolutionnaire. Les rapports de couple ont toujours fonctionné de la sorte. Le monothéisme monogame n'y changera rien (ça fait deux bons millénaires qu'il essaie, ça marche pas des masses).
Désolé de n'avoir pas la solution miracle à ton problème : "comment rester fidèle et heureuse en couple". Je n'en ai pas et j'ai dû faire une croix sur un des deux, pour être sûr que Caroline n'ait pas à se retrouver confrontée à ce dilemme...

jeudi 5 novembre 2015

Deuxième chance pour Mame : la chair est faible...


Malgré une conversation plus qu'explicite pour entériner notre rupture, Mame ne lâche pas l'affaire et tient absolument à me revoir.

Je fais un peu traîner les choses, histoire tout de même d'en savoir un peu plus sur sa motivation, mais elle semble pacifique, alors je finis par céder.


Nous nous retrouvons un soir après le boulot, loin tout de même de toute personne que je côtoie en cas de scandale public, mais la précaution était vaine. Mame me dit qu'elle tient beaucoup à moi et qu'elle a de nouveau envie que nous fassions l'amour. Quand je lui explique les raisons de mes doutes, elle me rassure en me disant qu'elle saura me montrer combien elle a envie de moi cette fois-ci... Rhââ, la chair est faible. Comment ne pas se laisser tenter ?


Quelques jours plus tard, nous nous retrouvons de nouveau dans une chambre d'hôtel. L'ambiance est plus détendue, très joyeuse, même si je mène toujours la danse avec ma partenaire passive. Cunni apprécié au bout d'un long temps de préparation et pénétration profonde et sauvage pour la réveiller, en levrette bien sûr car je suis vraiment fan de son magnifique fessier... Mame insiste pour me sucer, mais je dois vite mettre fin au supplice tant ses dents me meurtrissent. Elle n'a aucune délicatesse dans ses caresses et est soit très malhabile, soit elle s'en fout complètement. Il en va de même de la manière dont elle martyrise mes tétons, que j'ai il est vrai particulièrement sensibles.


Bref, c'était un peu mieux, mais je n'ai plus envie de continuer... Ce qui n'est manifestement pas son cas. Il va falloir être plus direct et tranchant, et réfléchir avec son cerveau pour une fois, qui n'est pas l'organe qui prend les décisions dans ces cas-là en général...

mercredi 14 octobre 2015

Deux rendez-vous avec Mame : séduction express

Pour la suite de ma relation avec Mame, rencontrée quelques jours plus tôt, je décide de prendre les choses en main et d'accélérer le processus. Le temps presse en effet car je ne pourrai pas trouver d'excuses bien longtemps sur mes absences le week-end. Il faut conclure rapidement.

Et la belle a l'air pressée également, ça tombe bien. Je l'emmène donc dans un petit resto sympa pas très loin de nos boulots respectifs et je discute, j'essaie d'en savoir plus, je suis prévenant, avenant. De son côté, c'est plus difficile, elle ne parle pas beaucoup, ne se détend pas et est vraiment très réservée.

J'en apprends tout de même un peu plus, elle bosse dans une agence d'hôtesse d'accueil, vit seule à l'autre bout de la banlieue dans un studio. Sa famille est ici, très imposante et très présente. Et sa foi en l'islam est aussi manifestement extrêmement importante pour elle : 4 à 5 prières par jour, on ne plaisante pas avec les enseignements du prophète...

Mais malgré tout, Mame est extrêmement docile. Après le repas, je l'emmène faire une petite ballade, on joue, je la prends par la taille, on se taquine. Elle ne répond pas vraiment mais se laisse faire et, après l'avoir isolée, on en vient comme souvent à une conversation qui la turlupinait : "pourquoi moi, pourquoi m'avoir abordée ?". Je lui explique que c'est au feeling, que j'ai été attiré et que je voulais la connaître et que je ne le regrette pas vu le bon moment qu'on passe tous les deux. Elle me réponds que je suis courageux. Je lui dis, en plongeant mon regard dans le sien et en attrapant ses mains que si j'étais vraiment courageux, je l'embrasserais maintenant. Elle ne se dégage pas, je lui caresse la joue, elle sourit... Baiser. Encore et encore, j'embrasse ses lèvres charnues. Je parviens non sans mal à trouver une langue, essaie de jouer. Elle se laisse faire avec une passivité remarquable. Ne participe pas. Ne me rejette pas. La neutralité absolue.
Après une petite dizaine de minutes de ce jeu là, et avoir exploré tout ce qui était explorable sur ce corps offert et inerte, la lassitude prenant un peu le pas, je la raccompagne au métro où elle semble me rendre un dernier baiser et je retourne au boulot...

Quelques SMS gentils après, elle me donne quelques signes d'intérêt (elle a bien une place pour moi dans son bain par exemple), mais comme depuis le début c'est moi qui mène la danse. Je recale vite un rendez-vous deux jours plus tard et réserve un hôtel par la même occasion. Je ne vois pas pourquoi elle résisterait cette fois-ci et j'espère bien pouvoir l'allumer un peu plus dans la chaleur d'une chambre partagée...

Le mercredi, 8 jours après l'avoir abordé et après avoir passé moins de deux heures avec elle, elle me suit aveuglément dans le métro et jusqu'au premier étage d'un petit hôtel... Je suis sûr de mon fait, dans un dernier soupçon de résistance, elle m'a demandé quelques heures plus tôt si j'étais sérieux avec elle et m'a dit qu'elle me faisait confiance... Elle refuse obstinément le massage que je lui promets et n'est pas intéressée par le bon pique-nique que j'ai apporté alors nous entamons plutôt des activités plus adultes.

Je dois lutter pour retirer chaque vêtement. Pas contre une quelconque forme de résistance mais plus contre une inertie incroyable. Je la déshabille petit à petit, en prenant mon temps. Je l'embrasse, je tente de l'exciter. Je finis quand même par trouver quelques points qu'elle semble apprécier : les baisers dans la nuque ou autour de l'oreille semblent faire mouche et elle s'ouvre un peu. Après une bonne heure de ce cinéma, je lui offre un premier orgasme avec ma langue et un ou deux doigts au tréfonds de son intimité. Elle a un goût très prononcé, un jus acide... J'enchaîne avec un préservatif et je la prends en missionnaire. Aucune réaction ou presque. Toujours une passivité désarmante. Je finis par jouir sans conviction. Elle est tendue, comme apeurée. Bref, mettons cela sur le coup de l'émotion et de la peur.

Une pause sandwich, des caresses, et on enchaîne sur un second cunni. Elle est plus ouverte, probablement un peu plus en confiance... J'en ai profité pour enfin complètement la déshabiller et pour admirer son corps. Très étrange lui aussi : des seins de taille moyenne et tombant (elle ne les aime pas), un petit bidon cellulité (qu'elle n'aime pas non plus) mais un cul mes amis. Une paire de fesses incroyablement ronde et ferme, avec une croupe et une cambrure idéales qui tranche singulièrement avec le relâchement de la peau alentour... Du coup, pour le deuxième coït qui se profile, je n'hésite pas à la retourner sur le ventre et je profite du spectacle. Je peux la prendre plus profondément, je kiffe bien et j'essaie d'en profiter au maximum mais le plaisir est vraiment mitigé par le fait qu'il ne semble pas vraiment partagé...

Vraiment, la réserve de ma partenaire me laisse sur ma faim : jamais elle ne m'a spontanément embrassé ni même n'a regardé mon sexe... Alors, ne parlons pas de caresses ou d'autres joyeuseries dont je raffole.

La suite sera malheureusement à l'image de cet après-midi de sexe décevant : même si nous nous quittons dans la joie, les SMS qui suivent sont très dérangeants. Mame me soutient qu'elle ne se sent pas bien et qu'elle est probablement enceinte (avec un préservatif c'est tout de même peu probable, et les nausées arrivent rarement 3 heures après...), puis qu'elle n'a pas d'argent, que c'est son anniversaire le lendemain et que je dois lui faire un beau cadeau... Je réponds à tout avec humour et gentillesse. Le week-end suivant, elle tente de m'appeler plus d'une trentaine de fois en quelques heures. Autant vous dire que reprendre son téléphone avec 30 appels en absence est déconcertant. Puis, quand je lui envoie un petit SMS le lundi matin, elle répond avec virulence 24 heures plus tard.

Nous règlerons l'affaire par un appel le lendemain (le jour même où j'écris l'article) et je lui signifierai le plus posément possible que notre relation n'aura pas de suite, ce qui de toute façon semblait être le but de ses derniers messages... J'en retiendrai le souvenir d'un des plus jolis culs que j'ai jamais tenu dans mes mains (avec Lola et Sandy l'ivoirienne sans doute), mais aussi la déconvenue que les blacks aussi peuvent être parfois décevantes au lit...

Rencontre étrange avec Mame, ivoirienne manifestement intéressée...

J'ai croisé Mame dans la rue près du travail aux alentours de 14 heures. Je sortais d'une petite séance d'un nouveau bootcamp dans lequel je tente d'aborder des touristes près des grands monuments de Paris pour lequel j'écrirai un petit article lorsqu'il sera terminé. Ça n'avait pas été très facile, toujours cette foutue timidité, mais j'avais finalement pris pas mal de confiance si bien qu'aborder, en français, cette africaine au visage fin qui venait à ma rencontre me parut en comparaison beaucoup plus simple.

Elle n'opposa pas la moindre résistance et montra immédiatement des signes d'intérêt révélateurs : joli sourire, échange de kinos sur les bras, rires et numclose appliqué... Et à peine un quart d'heure plus tard, elle m'appelait, "pour vérifier le numéro". Nous étions mardi.

Durant le reste de la journée, échanges classiques par SMS, on se tease un peu, on teste l'intérêt (manifestement important de sa part), on essaie d'en apprendre un peu plus sur la belle... Elle fait un grand mystère autour de son boulot, probablement parce qu'elle en a un peu honte par rapport au joli jeune homme en costume qui l'a abordé alors qu'elle était habillée très simplement. Elle me dira même : "tu penses que je suis femme de ménage, hein ?". Certes, j'y ai pensé, mais je ne vois pas vraiment où est le problème et un simple : "tu sais, ma mère était femme de ménage" devrait la rassurer. Elle conclut par : "je te le dirai quand on se reverra". Si ça ce n'est pas de l'intérêt et une invitation à l'invitation... Bref, RDV organisé pour le vendredi suivant.

La conversation n'est pas très aisée, le niveau de français de mon interlocutrice laissant à désirer... Elle en profite sans doute également pour éluder les questions qui achoppent mais je pense qu'elle est célibataire, (trop) croyante et qu'elle n'aimerait pas savoir que je suis marié (n'a-t-elle pas remarqué mon alliance, en tout cas elle semble me penser libre). Je décide donc de partir plutôt sur un coup d'un soir basé sur le mensonge quant à ma situation maritale. C'est pas bien, je sais. Mais je ne lui promets rien, ne laisse rien miroiter et montre clairement quelles sont mes intentions.

Durant les trois jours me séparant de notre entrevue prévue le vendredi après-midi, je garde le contact, me montre prévenant et gentil et fais tranquillement monter la tension (un "on ne se connaît pas très bien (pas encore)" par ci, un petit smiley qui fait des bisous par là...) pour arriver en forme le vendredi. Malheureusement, douche froide et sale plan. Le lapin. Ou plutôt, la migraine qui fait décommander quelques heures avant. C'est jamais bon signe. Un bon test que j'avais lu une fois et qui m'avait bien fait relativiser toutes ces excuses foireuses des femmes qui vous filent entre les doigts est : "si elle avait eu rendez-vous avec Brad Pitt, aurait-elle décommandé aussi ou se serait-elle arrangée ?" La réponse est souvent cruelle pour son propre ego... Surtout que là, alors que j'insiste gentiment : "on se fera un petit repas dans un endroit très calme, je m'occuperai bien de toi, je fais un massage de nuque et de tête qui fait passer n'importe quelle migraine", elle sort l'artillerie lourde : "je dois aller à l'hôpital" et n'évoquera par la suite plus jamais cette hospitalisation... Ça pue. Pour moi, à ce moment là, c'est mort.

Étonnamment pourtant, dans les heures qui suivent, elle me demande trois ou quatre fois de ne pas me fâcher contre elle et s'excuse platement... Je reste hyper gentil. Après tout, une migraine, c'est pas rigolo c'est vrai. Je prétexte un mariage en province durant le week-end pour ne pas être harcelé au téléphone (elle tente d'appeler énormément), je lui parle une fois ou deux dans des moments calmes et alors que je lui propose qu'on se voit le mercredi, elle insiste pour le lundi ! Finalement, ce n'est peut-être pas si mort...

vendredi 18 septembre 2015

Catherine, amour fou, sexe sauvage et... orgasmes enfin partagés !

Cela fait maintenant presqu'un an que Catherine est ma maîtresse et qu'elle aime m'appeler "son amant vahaza". Le vahaza, c'est le blanc en malgache, et jamais Catherine n'aurait pu s'imaginer s'enticher un jour d'un non-malgache...

Mais elle ne le regrette manifestement pas. La semaine dernière, Catherine m'a fait un magnifique cadeau : elle a enfin cessé de se refuser à l'abandon et s'est laissée aller à jouir dans mes bras...

Nous avions débuté notre rendez-vous de manière un peu atypique, puisque, pour la première fois en une vingtaine de rencontres, Catherine avait choisi de commencer par me sucer. Elle adore sucer, en général vers la fin de nos ébats, et elle parvient à me remettre en forme en quelques instants et même à obtenir d'incroyables troisième ou quatrième éjaculations de cette manière. Mais cette fois-ci, elle avait envie d'une queue immédiatement dure dans sa bouche, de me sentir surexcité dès les premiers coups de langues sur mon prépuce et voulait une belle éjaculation abondante... Il ne lui fallut pas bien longtemps pour obtenir le tout, tant elle est toujours aussi experte dans sa manière de jouer avec moi et de me rendre fou.

Quelques instants plus tard, après avoir repris mes esprits et quelques forces en caressant doucement le corps nu de Catherine, j'entrepris de l'exciter en m'attardant sur les parties les plus sensibles de son corps, que je commence à bien connaître maintenant, et je terminai en doux baisers sur ses beaux seins, son ventre et l'intérieur de ses cuisses... Jusqu'à ce que ce petit corps se tortillant sous mes caresses soit tellement chaud que les premiers passages de langue au bord de son sexe provoquent des gémissements de plaisir communicateurs. Et là, plutôt que de m'enjoindre d'arrêter pour la pénétrer, Catherine s'est laissé faire de longues minutes. Il y a bien longtemps que ma langue avait arrêté d'explorer les recoins de ses lèvres pour se concentrer sur son clitoris en érection et que mes mains étaient passées successivement de ses hanches à ses fesses pour finir par caresser son pubis et l'intérieur de son vagin quand Catherine finit par m'offrir un  orgasme long et profond, sans explosion ni cris mais qui la laissa essoufflée et ébouriffée...

Bien que son sexe soit hyper-sensible après un tel exercice, je ne pus résister à l'envie incroyable que j'avais de la prendre à ce moment. Elle était tellement excité que mon sexe pourtant très gonflé la pénétra complètement dans un soupir de plaisirs partagés... Et, après ce long coït où nous alternâmes comme à notre habitude tout un tas de positions sans le moindre heurt, je la sentis encore une fois jouir, cette fois de me sentir au fond d'elle. C'était bon, doux et chaud, je l'accompagnais dans l'extase. Et puis nous avons dormis tous les deux, sa tête sur ma poitrine.

Et quand nous nous sommes réveillés, une petite heure plus tard, nous avons recommencé. Et j'ai joui quand elle en a eu envie : comment résister quand, en levrette au fond d'elle, les deux mains perdues entre ses fesses, ses seins et sa nuque, elle me supplie de jouir en elle en attrapant mes couilles pour les masser ?

Oh oui, que c'est bon le sexe sauvage avec ma petite maîtresse gasy !